On retrouve ici un fonctionnement tout à fait classique chez Palazzetti (tous les poêles équipés du même panneau de commande fonctionnent de manière analogue). L’utilisateur choisit une température de consigne et une puissance de chauffe dans une fourchette de 1 à 5.
Le poêle chauffe alors à la puissance encodée jusqu’à atteindre la température de consigne. Ensuite, il passe en puissance minimum (puissance 1) sans jamais s’arrêter. Ce changement de puissance s’appelle la « modulation de la combustion ». Si l’appareil repasse en dessous la température de consigne (seuil paramétrable), il reprendra alors la puissance définie initialement par l’utilisateur et ainsi de suite. Ce fonctionnement basique permet de limiter les cycles « marche/arrêt » et de préserver ainsi la bougie d’allumage tout en maintenant dans la maison une chaleur constante. Dommage cependant que le poêle ne puisse pas changer la puissances de manière autonome en fonction de la température à atteindre.
Ainsi, si l’utilisateur ne paramètre pas une puissance assez forte en cas de grand froid, le poêle risquera de ne jamais atteindre la température demandée et ne changera pas son régime tout seul.